Après “SUPREME SOUND FROM PARIS” sorti au mois de Juin avec ONRA et WALTER MECCA (remettre les liens…)

Skullcandy sort SUPREME SOUND FROM LONDON avec DEFT (The traveller/Illicit fantasy) et FLAKO (Illicit fantasy remix).

3 titres qui explorent et marient des univers aussi variés que le Hip hop, le dubstep, la Bass et la deep house.

Au-delà des étiquettes et des catégories, ces deux producteurs Londoniens déjà remarqués par le label de Gilles Peterson Brownswood Records développent un style et une sensibilité laissant la part belle à des constructions rythmiques sophistiquées qui sont la base d’un propos toujours très mélodieux. Loin des structures binaires et linéaires, DEFT et FLAKO disposent d’une richesse d’écriture incroyable dont on souhaite qu’elle leur permettra d’exister au-delà des phénomènes de mode.

Ce nouveau projet de la marque, qui s’inscrit dans un rapport à la musique que l’on verra bientôt se développer au cours de l’année 2013, correspond à la volonté de participer à faire découvrir de jeunes producteurs qui se singularisent par une énergie, une finesse et une “profondeur de son”  parfaitement adaptés aux nouveaux produits proposés par Skullcandy.

Pour Thierry Peuchot, Directeur Marketing de Skullcandy Europe : “Il existe de  nombreux artistes talentueux auxquels nous sommes très sensibles. Déterminer ceux avec lesquels nous souhaitons collaborer est un vrai casse tête, mais lorsqu’au-delà des goûts et de l’intérêt purement artistique on ajoute des critères de choix plus “techniques”,  le spectre se réduit alors un peu. Ecoutez les titres que nous produisons avec un casque Skullcandy et vous constaterez que la multitude de détails présents dans les aiguës, la dynamique des basses et la fidélité de restitution vocale font toute la différence”.

 

Skullcandy, qui, depuis de nombreuses années, s’implique dans le skate et le basket aux US, compte désormais s’engager dans des projets et des contenus musicaux très variés qui ne se limiteront pas à l’electro. Pour Thierry Peuchot et son directeur artistique musique : “il est plus facile de mettre un logo sur une scène, sur un rack DJ ou sur une vidéo que de mettre en place une structure qui élabore des programmes riches,  cohérents et artistiquement osés, d’avoir des parti-pris et la volonté de se battre pour que des artistes talentueux puissent rencontrer le succès qu’ils méritent plutôt que de miser systématiquement et uniquement sur ceux qui en ont déjà.”